Incidents observés depuis la rentrée 2010 aux abords des chantiers proches du groupe scolaire Péri-PVC
- mise en activité d’une pelleteuse creusant le sol sur deux mètres de profondeur à un mètre des murs de PVC sans aucune sécurisation des élèves présents au sein de l’école.
- absence de protection réglementaire (pose d’un simple grillage) les 2 et 3/12/2010 lors de la destruction à la pelleteuse d'une maison en bordure du passage qui mène aux écoles à l’heure d’arrivée des enfants.
- un premier feu le 3/12/2010 a été allumé sur le chantier de démolition occasionnant des braises retombant au niveau de la grille de l’école à l’heure d’arrivée des élèves.
- un second feu allumé le 6/12/2010 dans une benne dégageant une fumée épaisse et nauséabonde qui s’est propagée jusqu’à la rue et provoquant une crise d’asthme à une mère d’élève.
- un groupe électrogène a été mis en activité le 6/01/2011 sous les fenêtres de l’école PVC dégageant une forte odeur de fuel dans les classes et provoquant des nuisances sonores.
- les jours suivants, des soudures à l'arc générant des gerbes d’étincelles ont été constatées le long des murs de PVC, école type Pailleron, aux abords immédiats du groupe électrogène et à la vue des élèves.
- l’école PVC s’est mise à plusieurs reprises à trembler sous les coups des pelleteuses et des marteau-piqueurs.
- jeudi 27 janvier, une mère d’élève a récupéré son enfant avec un mal de tête qui serait semblerait-il causé par les vibrations de sa chaise toute la journée.
- les élèves et les enseignants se plaignent de devoir parler fort pour pouvoir s’entendre.
- lundi 31 janvier, un camion entrait sur le chantier Monoprix, à 8H50, barrant le passage des enfants. Une mère d’élève accompagnant ses enfants à l’école a tenté de parler au conducteur qui lui a répondu par des propos désobligeants.
- jeudi 3 février, un camion sort du chantier Monoprix vers 8h50 barrant le passage des enfants sans la présence d’un professionnel du chantier.
- Vendredi 11 février 2011 à 8h45, un enfant se rendant à l’école a risqué de se faire renverser par un des camions entrant en marche arrière sur le chantier Monoprix.